Deuxième soirée, deuxième succès.
Maurice Bonnardel et les bénévoles de l’association Autour de Brassens peuvent être fiers de la réussite de leur cinquième festival.
Non seulement la salle était bondée mais il fallut rajouter moult chaises pour satisfaire à la demande d’un public qui n’allait pas regretter son déplacement à la salle des Fêtes de L’Argentière la Bessée, gracieusement prêtée par les membres de la municipalité.
Ceux qui pensent que Brassens n’intéressent que les vieux sépulcres blanchis chancelant dans leur carapace en ont été pour leurs frais.
Vue de la salle avant le spectacle... |
De plus en plus de jeunes découvrent le répertoire du bon maître et le restituent à leur façon, souvent de manière surprenante et plus souvent encore avec un bon goût digne des meilleurs musiciens du moment.
Le Trio Pierre et Willy |
Ce fut le cas de Pierre, Willy et Greg, trois jeunes Palois qui ont été époustouflant de virtuosité et de sensibilité.
Certaines chansons méconnues, voire inconnues du grand public ont flirté avec les standards.
Ce fut le cas des Illusions perdues ou encore de ce magnifique texte de Gustave Nadaud mis en musique par Brassens intitulé Le roi boiteux.
Quelques clins d’œil à l’illustre idole de Brassens, j’ai nommé Django Reinhardt que les doigts de fée de Willy ont su ressuscité le temps d’un Minor Swing virevoltant.
La jeunesse et la fougue des trois jeunes artistes ont apporté un sang nouveau à cet évènement.
Jean-Marc Dermesropian - Jean-Sébastien Bressy - Jo Labita |
En seconde partie, accompagné de deux virtuoses, l’accordéoniste Jo Labita et la pianiste Jean-Sébastien Bressy, Jean-Marc Dermesropian a partagé avec le public une vingtaine de titres qui résonnent dans nos mémoires comme des hymnes à la joie, à la femme et à l’amour.
De Ma môme à Nuit et brouillard en passant par Ma France, Que serais-je sans toi, A Brassens, Aimer à perdre la raison …et évidemment La montagne, Jean-Marc nous a fait voyager dans son univers de tendresse, d’humour et de poésie n’oubliant jamais de rendre hommage à une poétesse admirable dont il défend les textes depuis quelques années et qui font mouche à chaque fois dans le cœur du public.
Jeudi soir, c’était Le papé, vendredi Ils me disaient.
Jean-Marc a tenu à laisser ses musiciens se livrer à une interprétation ébouriffante d’une œuvre du génial accordéoniste Richard Galliano.
Un tango qui décoiffe, c’est le moins qu’on puisse dire.
Avant de rappeler les artistes présents dans la salle pour un final traditionnel (Les copains d’abord), Jean-Marc a offert aux festivaliers un texte de Lucien Aschiéri qu’il a mis en musique et qui s’intitule « Arménie » .
L’émotion était une fois de plus au rendez-vous.
De Ma môme à Nuit et brouillard en passant par Ma France, Que serais-je sans toi, A Brassens, Aimer à perdre la raison …et évidemment La montagne, Jean-Marc nous a fait voyager dans son univers de tendresse, d’humour et de poésie n’oubliant jamais de rendre hommage à une poétesse admirable dont il défend les textes depuis quelques années et qui font mouche à chaque fois dans le cœur du public.
Jeudi soir, c’était Le papé, vendredi Ils me disaient.
Jean-Marc a tenu à laisser ses musiciens se livrer à une interprétation ébouriffante d’une œuvre du génial accordéoniste Richard Galliano.
Un tango qui décoiffe, c’est le moins qu’on puisse dire.
Avant de rappeler les artistes présents dans la salle pour un final traditionnel (Les copains d’abord), Jean-Marc a offert aux festivaliers un texte de Lucien Aschiéri qu’il a mis en musique et qui s’intitule « Arménie » .
L’émotion était une fois de plus au rendez-vous.
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